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1.
European Respiratory Journal Conference: European Respiratory Society International Congress, ERS ; 60(Supplement 66), 2022.
Article in English | EMBASE | ID: covidwho-2273044

ABSTRACT

Introduction: Long COVID was defined by the persistence or development of symptoms beyond 4 weeks from the onset of the disease. The aim of our study is to describe the prevalence of Long COVID in survivors after discharge and to determine predictive factors for Long COVID. Method(s): It was a retrospective study of hospitalized patients with COVID-19 in pneumology department D of Abderahman Mami hospital. We divided patients in 2 groups: G1: 94 patients with Long COVID and G2: 43 asymptomatic patients after discharge. Result(s): The prevalence of Long COVID was 68%. Female sex was associated with persistent symptom (53.2% vs 30.2%, p=0.01). The risk of persistent symptoms was higher in patients with moderate or severe obesity (51.6% vs 33%;p=0.04). Comorbidities were more frequent in G1 (73% G1 vs 65%, p=0.3). Asthma and Obstructive Sleep Apnea were associated with persistent symptoms (73% vs 65%, p=0.03 and 8% vs 0%, p=0.04, respectively). Patients in G1 had a higher frequency of fatigue than those in G2 (80% vs 58%, p=0.005). Most cases were mild, but 17% of patients required ventilatory support. Long COVID showed a strong correlation with Length of stay (r2= 0.18, p=0.03). The most common persistent symptoms reported were: fatigue (75.8%), shortness of breath (70.8%) and join pain (38.5%). Conclusion(s): We have observed that long COVID affected especially women and patients with respiratory comorbidities and those requiring prolonged hospital stay.

3.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):109, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586698

ABSTRACT

Introduction La propagation du nouveau coronavirus SARS-CoV-2, découvert en Chine en décembre 2019, a touché le monde entier et a atteint la Tunisie depuis mars 2020. L’objectif de cette étude est de déterminer le profil clinique, biologique et tomodensitométrique de la pneumonie COVID-19. Méthodes Étude rétrospective incluant 300 patients hospitalisés pour pneumonie COVID-19 confirmée par RT-PCR au service de pneumologie D de l’hôpital Abderrahmen Mami de l’Ariana durant la période 2020–2021. Résultats L’âge moyen des patients était de 59,95±14,29 ans (22–96 ans) avec une prédominance masculine (54 %). La fréquence des sujets âgés de plus que 65 ans était de 42 %. L’hypertension artérielle (41,7 %), le diabète (28 %), l’obésité (40 %), la pathologie respiratoire chronique et allergie (20,7 %) et l’hypothyroïdie (8 %) étaient les comorbidités les plus fréquentes. La symptomatologie était dominée par l’asthénie (76,3 %), la fièvre (63,7 %) et la toux sèche (52,3 %). Le tableau clinique était sévère dans 56,5 % des cas nécessitant une oxygénothérapie plus que 6l/min à l’admission chez 44,1 % des patients. Un syndrome inflammatoire biologique, une lymphopénie et une cytolyse hépatique ont été notés respectivement chez 85,5 %, 66,2 % et 22,1 % des patients. Les D-Dimères étaient positives chez 48,4 % des patients. L’atteinte radiologique était sévère (>50 %) chez 50,7 % des patients. Le scanner thoracique a montré la présence d’images en verre dépoli en plage, des condensations parenchymateuses et un aspect en crazy paving respectivement chez 88,6 %, 65,8 % et 9,7 % des patients. La distribution des lésions était sous pleurale (37 %) et au niveau des lobes inférieurs (26,1 %). Une antibiothérapie et une corticothérapie systémique ont étaient prescrites respectivement chez 55,7 % et 90,6 % des patients. L’évolution était favorable dans 72,6 % des cas avec une durée moyenne d’hospitalisation de 9,32±6,7jours. Soixante-dix-neuf patients (26,4 %) ont nécessité le transfert en réanimation. Le décès a été noté chez sept patients. Conclusion Les caractéristiques cliniques et paracliniques des patients hospitalisés pour pneumonie à SARS CoV-2 étaient similaires à celles publiées dans des études précédentes.

4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):110, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586697

ABSTRACT

Introduction La présentation clinique de l’infection à virus SARS-CoV-2 est très variable, allant des formes bénignes aux formes graves marquées notamment par un syndrome de détresse respiratoire aigu avec nécessité d’un débit élevé en oxygène. L’objectif de notre étude est de caractériser la pneumonie à SARS-CoV-2 nécessitant un débit élevé en oxygène. Méthodes Étude rétrospective incluant 300 patients hospitalisés pour une pneumonie SARS-CoV-2 confirmée par une RT-PCR au service de pneumologie D de l’hôpital Abderrahmen Mami de l’Ariana durant la période 2020–2021. Ces patients ont été répartis en deux groupes : groupe1 (G1) : patients avec des besoins en oxygène≥6l/mn à l’admission (n=187) et groupe 2 (G2) : patients avec des besoins en oxygène<6l/mn à l’admission (n=113). Résultats Les sujets âgés de plus que 65 ans (49,2 % versus 36,5 % ;p=0,02) et le sexe masculin (63,6 % vs 46,7 % ;p=0,004) étaient plus fréquents dans le G1. Comparativement au G2, les patients du G1 avaient plus de dyspnée (79,5 % versus 57,9 % ;p=0,001) et de fièvre (71,2 % versus 57,8 % ;p=0,01). À la biologie, un syndrome inflammatoire biologique (91,5 % versus 80,7 %, p=0,009), un taux élevé de LDH (93 % versus 76,3 % ;p<0,001), une cytolyse hépatique (31 % versus 15 % ;p=0,001) et une lymphopénie (72,5 % versus 61,1 % ;p=0,06) étaient plus fréquents dans le G1. La ferritinémie était plus élevée (754,43 versus 577,83ng/mL ;p=0,04) et l’albuminémie était plus basse (31,9g vs33,9g ;p=0,04) dans le G1. Les condensations en bandes sous pleurales (33,6 % versus 22,4 % ;p=0,04) et une atteinte étendue (>50 % du parenchyme pulmonaire) (70 % versus 36,9 % ;p<0,001) étaient plus fréquentes dans le G1. Les patients du G1 ont nécessité plus de corticothérapie (97,7 % versus 85 % ;p<0,001), de ventilation non invasive en aiguë (11,9 % versus 3 % ;p=0,001) et de transfert en réanimation (44,3 % versus 12 % ;p<0,0001). Les comorbidités respiratoires (p=0,69), cardiovasculaires (p=0,93) et métaboliques (p=0,41), les D-Dimères positives (p=0,08) et le taux de fibrinogène (p=0,4) étaient comparables entre les deux groupes. Conclusion La pneumonie à SARS-CoV-2 nécessitant un débit en oxygène de plus que 6l/mn à l’admission est caractérisée par une gravité clinique, biologique et radiologique.

5.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):111, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586693

ABSTRACT

Introduction La pandémie COVID-19 a un impact psychosocial entraînant des modifications comportementales notamment le comportement tabagique. Le but de notre travail est d’étudier le comportement tabagique au cours de la pandémie COVID-19 en Tunisie. Méthodes Enquête descriptive transversale ayant été réalisée à l’aide d’un auto-questionnaire anonyme standardisé partagé sur les réseaux sociaux pendant 15jours. Cent huit personnes ont répondu au questionnaire. Résultats L’âge moyen des participants était de 38,4 ans avec une prédominance du sexe masculin (78,7 %) et d’un niveau d’éducationnel supérieur (80,6 %). Une infection à SARS-CoV-2 a été rapportée chez 43 % des participants. La fréquence des participants vaccinés était de 71,3 % dont 17,6 % avaient une vaccination complète. L’âge moyen de début de tabagisme était de 20 ans. Le mode de tabagisme le plus fréquent était les cigarettes (91,6 %) avec une consommation moyenne de 17 cigarettes/jour. La consommation des cigarettes électroniques et de narguilé étaient notées respectivement chez 13 % et 8,3 % des participants. La majorité (97 %) des participants ont commencé à fumer avant la pandémie, (1,85 %) au cours de la pandémie et un participant a repris le tabagisme durant la pandémie. La moitié des participants ont gardé le même niveau de consommation tabagique qu’avant la pandémie, (23,1 %) ont augmenté leur consommation, (19,4 %) ont diminué leur niveau de consommation et (7,4 %) ont arrêté de fumer pendant la pandémie. Soixante-huit pour cent des participants ont tenté d’arrêter le tabagisme. Les raisons motivant le sevrage étaient : un confinement avec les membres de la famille (12 %), l’atteinte par la COVID-19 (4,6 %), les publications en rapport avec la sévérité de l’association COVID et tabac (4,6 %), la difficulté d’approvisionnement pendant les périodes de confinement (4,6 %) et le décès d’un proche par la COVID-19 (3,7 %). Conclusion La pandémie COVID-19 semble avoir un effet sur le comportement tabagique. Ceci souligne l’importance d’encourager les campagnes de sensibilisation à l’arrêt du tabac ainsi que les moyens d’aide au sevrage tabagique dans cette période difficile.

6.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):121, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586682

ABSTRACT

Introduction Le diabète est l’une des comorbidités le plus fréquemment rapportées chez les patients atteints de COVID-19. L’objectif de notre travail est de déterminer les caractéristiques cliniques, biologiques et radiologiques de la pneumonie COVID-19 chez les patients diabétiques. Méthodes Étude rétrospective et comparative incluant 300 patients hospitalisés pour une pneumonie COVID-19 confirmée par une RT-PCR au service de pneumologie D de l’hôpital Abderrahmen Mami de l’Ariana durant la période 2020–2021. Ces patients ont été répartis en deux groupes : groupe 1 (G1) : patients diabétiques (n=93) et groupe 2 (G2) : patients non diabétiques (n=207). Résultats Le diabète était de type 2 (n=84), de type 1 (n=2) et inaugural (n=13) avec une glycémie à jeun moyenne à 11,41mmol/L et une hémoglobine glyquée moyenne à 9,83 %. Comparativement aux patients non diabétiques (G2), les patients diabétiques (G1) étaient plus âgés (63,06 versus 58,28 ans ;p=0,005), avaient plus d’hypertension artérielle (68,8 % versus 29,5 % ;p=0,0001), d’hypothyroïdie (12,9 % versus 5,8 % ;p=0,03), de dyslipidémie (38,7 % versus 10,6 % ;p=0,001) et moins de tabagisme (3,4 % versus 12,6 % ;p=0,02) et de cytolyse hépatique (13,6 versus 25,9 % ;p=0,021). Un épanchement pleural (11,5 % versus 2,8 % ;p=0,01), un crazy paving (15,4 % versus 7,3 % ;p=0,01) et une localisation sous pleurale des lésions (48,7 % versus 32 % ;p=0,01) au scanner thoracique étaient plus fréquents dans le G1. Les patients du G1 avaient plus de complications au cours de l’hospitalisation avec plus de chiffres tensionnels élevés (14 % versus 6,8 % ;p=0,04), de décompensation cétosique (10,8 % versus 0 % ;p=0,0001) et d’insuffisance rénale fonctionnelle (28 % versus 17,4 % ;p=0,03). Un tableau clinique sévère (55,9 % versus 65,7 % ;p=0,1), une étendue radiologique plus que 50 % (51,2 % versus 51,5 % ;p=0,9), une lymphopénie (64,5 % versus 67 % ;p=0,67), un syndrome inflammatoire biologique (87,9 % versus 84,5 % ;p=0,43) et des D-Dimères positives (46,9 % versus 49,1 % ;p=0,7) étaient comparables entre les deux groupes. La durée moyenne d’hospitalisation (9,43j versus 9,26j ;p=0,8), le recours à la réanimation (26,9 % versus 26,2 % ;p=0,9) et la nécessité de ventilation non invasive en aiguë (11,1 % versus 5 % ;p=0,05) étaient comparables entre les deux groupes. Conclusion La pneumonie COVID-19 chez les diabétiques était plus fréquente chez les sujets âgés et associée à plus de comorbidités cardiovasculaires avec une atteinte radiologique atypique.

7.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):131, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586657

ABSTRACT

Introduction Certains patients gardent des symptômes plus longtemps post-pneumonie COVID-19. L’objective de notre étude est de caractériser les symptômes en post-pneumonie COVID-19 et de déterminer les facteurs prédictifs de leurs persistances. Méthodes Étude rétrospective longitudinale incluant 121 patients ayant présenté une pneumonie COVID-19 et qui ont consulté à 1 mois après hospitalisation pour l’épisode aiguë. Ces patients ont été recrutés au sein de la consultation de suivi post-COVID, au service de pneumologie D de l’hôpital Abderrahmen Mami de l’Ariana, durant une période allant de janvier 2020 à août 2021. Résultats Quatre-vingt-sept patients (71,9 %) avaient des symptômes prolongés. Cette symptomatologie était dominée par la dyspnée (45,5 %), la toux sèche (19 %), l’asthénie (18,2 %), l’oppression thoracique (14 %) et les céphalées (12,4 %). Une anosmie persistante a été notée chez 5 % des patients. Comparativement aux patients asymptomatiques, les patients avec des symptômes prolongés étaient plus de sexe féminin (51,7 % versus 48,3 % ;p=0,02) et avaient une forme sévère plus fréquente de la pneumonie COVID-19 (48,3 % versus 20,6 % ;p=0,001) et une durée d’hospitalisation plus longue (12,45 jours versus 9,18 jours ;p=0,02) à la phase aiguë de l’infection. L’âge moyen (64,47 ans versus 60,45 ans, p=0,128), la fréquence des sujets âgés de plus que 65 ans (48,3 % versus 38,2 % ;p=0,31), les comorbidités cardiovasculaires (39,1 % versus 41,2 % ;p=0,6) et métaboliques (56,3 % vs 64,1 % ;p=0,9) et une étendue radiologique plus que 50 % à la phase aiguë de la pneumonie COVID-19 (42 % versus 40 % ;p=0,85) étaient comparables entre les deux groupes. Conclusion La dyspnée est le symptôme le plus fréquent après la phase aiguë de la pneumonie. Les facteurs prédictifs de la persistance des symptômes à un mois post-pneumonie COVID-19 étaient le sexe féminin et la sévérité de l’infection initiale.

8.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):222-223, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586598

ABSTRACT

Introduction La tomodensitométrie thoracique (TDM-Thx) a une place centrale dans la prise en charge des patients présentant des symptômes respiratoires secondaires à une pneumonie à SARS-CoV-2. Cet examen permet d’évaluer l’extension des lésions et de suivre leur évolution. L’objectif de notre étude est de déterminer la corrélation entre de la sévérité radiologique de la pneumonie à SARS CoV-2 et la sévérité clinique. Méthodes Étude rétrospective et comparative incluant 278 patients hospitalisés pour une pneumonie à SARS-CoV-2 confirmée par une RT-PCR au service de pneumologie D de l’hôpital Abderrahmen Mami de l’Ariana durant la période 2020 à 2021. Ces patients ont été répartis en deux groupes: groupe1 (G1) : patients avec une pneumonie étendue à 50 % et plus du parenchyme pulmonaire (n=143) et groupe 2 (G2): patients avec une pneumonie étendue à moins de 50 % du parenchyme pulmonaire (n=135). Résultats Comparativement aux patients du G2, les patients G1 avaient plus de verre dépoli (99,2 % versus 93,3 %;p=0,01), de condensations (74,4 % versus 55,8;p=0,002) et d’épaississement septal (38,3 versus 17,5 % ;p=0,0001). Les patients du G1 avaient moins de comorbidités respiratoires (9,8 % versus 28,9 % ;p=0,0001) notamment moins d’asthme (1,4 % versus 7,4 % ;p=0,01) et présentaient plus de dyspnée (74,5 % versus 60 %;p=0,01) que le G2. Le délai de consultation était plus long dans le G1(10,33j versus 8,88j ;p=0,01). Des D-Dimères positives (55,3 % versus 42,6 %, p=0,05) et un taux élevé de LDH (90,6 % versus 77,3 %p=0,003) étaient plus fréquents dans G1. La ferritinémie moyenne était plus élevée (771,56 versus 555,72ng/ml ;p=0,01) et la protidémie moyenne était plus basse (70g versus 72g;p=0,02) dans le G1. Une forme clinique sévère (86 % versus 37 % ;p=0,001) avec une saturation en air ambiant inférieur à 90 % (70,2 % versus 40,9 % ;p=0,0001), un débit d’oxygène plus que 6l/min à l’admission (59,2 % vs 26,7 % ;p=0,001), le recours à la ventilation non invasive en aigue (10,1 % versus 3 % ;p=0,01) et le transfert en réanimation (31,7 % versus 18,5 % ;p=0,01) étaient plus fréquents dans le G1. La durée moyenne d’hospitalisation était plus prolongée (12,9j versus 9,61j ;p=0,01) dans G1. L’âge moyen (p=0,41), la fréquence du sexe masculin (p=0,49), la lymphopénie (p=0,13) et le taux de fibrinogène (p=0,2) étaient comparables entre les deux groupes. Conclusion La sévérité radiologique de la pneumonie à SARS-CoV-2 est associée à la sévérité clinique avec des besoins en oxygène plus importants et des hospitalisations en réanimation plus fréquentes.

9.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):223-224, 2022.
Article in English | ScienceDirect | ID: covidwho-1586596

ABSTRACT

Introduction La pneumonie à Sars-CoV-2 est pourvoyeuse de séquelles respiratoires avec un retentissement fonctionnel respiratoire. L’objectif de notre étude est d’évaluer le retentissement fonctionnel respiratoire à 3 mois post pneumonie à Sars CoV-2. Méthodes Étude rétrospective longitudinale incluant 70 patients ayant présentaient une pneumonie à SARS CoV-2 confirmée par une RT-PCR et qui ont consulté à 3 mois (M3) post hospitalisation pour l’épisode aiguë. Ces patients ont été recrutés au sein de la consultation de suivi post Covid, au service de pneumologie D de l’hôpital Abderrahmen Mami de l’Ariana, durant une période allant de janvier 2020 à août 2021. Résultats L’âge moyen des patients était de 60,83 ans (28–85 ans) avec une prédominance masculine (58,6 %). Les comorbidités étaient dominées par l’hypertension artérielle (52,9 %) et le diabète (38,6 %). L’obésité a été notée chez 38,6 % des patients avec un IMC moyen à 30,43kg/m2 [20,99–63,4kg/m2]. La dyspnée d’effort à M3 était notée dans 34,28 % des patients. Les valeurs moyennes des paramètres fonctionnels aux explorations fonctionnelles respiratoires (EFR) à M3 étaient respectivement: CVF à 90,94 % (58 %–121,7 %), VEMS à 92,84 % (45 %–125 %), CPT à 88,4 % (64 %–118 %) et DLCO à 76,23 % (35 %–118 %) de la valeur prédite. L’EFR était normale dans 38,6 % des cas. Elle a montré un trouble ventilatoire restrictif chez (5,7 %), un ventilatoire obstructif (2,9 %) et un trouble de la diffusion (44,3 %). Le TM6 a montré une réduction du PM dans 27,1 % des cas. Les patients avec une atteinte sévère (au moins 50 %) au scanner initial avaient une valeur de VEMS moyen plus basses (87,4 versus 97,7 % de la valeur prédite;p=0,01). Cependant les valeurs de la CVF (p=0,2), CPT (p=0,2) et de la DLCO (p=0,16) étaient similaires quel que soit la sévérité de l’atteinte initiale. Conclusion La baisse de la DLCO constitue l’anomalie fonctionnelle la plus fréquente. Les anomalies fonctionnelles respiratoires persistantes à 3 mois d’une infection à SARS-CoV-2 justifient un suivi large et à long terme.

10.
Ann Palliat Med ; 10(11): 11288-11300, 2021 Nov.
Article in English | MEDLINE | ID: covidwho-1478829

ABSTRACT

BACKGROUND: The aim of this study was to retrospectively describe the evolution of symptoms, infections, and mortality at a nursing facility in France that had implemented a protocol for the prevention and treatment of COVID-19. METHODS: A database was created on 21 March 2020 to store all information related to residents, including co-morbidities, as well as COVID-19 symptoms, incidence, and mortality. Residents followed a COVID-19 protocol, consisting of preventive (administering vitamins and zinc, social distancing, and temperature checks) and active (antibiotics, anticoagulants, and corticosteroids) measures. RT-PCR and serology testing were performed on residents. A new coefficient, named the Zemgor coefficient, was calculated as the haemoglobin-to-albumin ratio at 2 time points 15 days apart, to monitor hypoxemia. RESULTS: In January 2020, the nursing facility housed 192 residents, 75 men and 117 women, aged 80±11. One or more co-morbidities were present in 94% of residents, with the most common being dementia. The COVID-19 protocol provided 61% of residents with anticoagulants, 51%with antibiotics, 21% with oxygen therapy, and 3% with corticosteroids. The COVID-19 incidence was 51% based on presence of COVID-19 symptoms, 35% based on positive RT-PCR (amongst residents tested for RT-PCR) and 41% based on positive serology (amongst residents tested for serology), and the COVID-19 mortality rate was 8%. The Zemgor coefficient was 0.049±0.053 for patients with hypoxemia compared to 0.011±0.041 for patients without hypoxemia (P=0.001). CONCLUSIONS: The protocol for the prevention and treatment of COVID-19 implemented at this nursing facility resulted in a COVID-19 incidence and mortality at the lower end of that reported by other nursing facilities.


Subject(s)
COVID-19 , Clinical Protocols , Female , France , Humans , Male , Retrospective Studies , SARS-CoV-2
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